La Plaine d’Issy

Limites et voisinages

Entre le pied du coteau et les voies de chemin de fer qui éloignent l’accès à la Seine, cette sous-unité est elle-même incluse dans la sous-unité de « la Seine des belvédères », dont elle constitue une portion dans laquelle le relief de coteau et la Seine se font moins sensibles.

Motifs et compositions du paysage

Du fait de cette situation, l’unité apparaît au premier plan des vues que proposent les belvédères du coteau.

Horizons de nature

Des tissus « parisiens » maillés d’avenues boisées, recoupés par les voies de chemin de fer Le pied du coteau accueille l’ancien village d’Issy et l’avenue de Verdun (RD989) dans le prolongement, depuis Paris, de la rue de Vaugirard. La plaine présente aujourd’hui l’aspect d’un tissu composite mais dense, associant, sous la forme principale des îlots fermés, logements et activités.

Le paysage, assez resserré par le tissu dense, n’offre que peu de dégagements, sinon les axes des rues elles-mêmes parfois bordées d’arbres d’alignement. Alors que les voies sont principalement parallèles au coteau, quelques échappées s’ouvrent vers la lumière de la Seine ou vers le coteau. Les voies de chemin de fer ont, elles aussi, emprunté le passage étroit entre Seine et coteau, et viennent recouper le territoire de la plaine de leurs talus, ou l’animer par les viaducs.


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