Évolutions du territoire du Plateau du Petit-Clamart

Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle

Le plateau est entièrement cultivé, à peine ponctué de fermes (Trivaux). Le chemin de Châtillon, (RD906) que rejoint l’axe de Meudon, le chemin de Versailles à Choisy (A86), traversent les cultures cadrées par les lisières des deux forêts dont les limites ont peu changé depuis.

Carte d'état-major, début XIXe siècle

Aucune évolution notable.

Carte IGN de 1900

Le plateau est encore agricole, alors que les versants ont engagé un développement plus notable. Le Plessis-Piquet a été rebaptisé Plessis-Robinson.

Carte IGN de 1950

Les secteurs pavillonnaires du Jardin Parisien et du Petit-Clamart sont constitués, ainsi que la cité-jardin initiale du Plessis-Robinson et quelques installations industrielles, mais le reste du plateau est encore cultivé. Les cités de Robert Auzelle et Fernand Pouillon ne tarderont pas à voir le jour. Le parc Henri Sellier est le nouveau nom du bois du Plessis-Piquet, une permanence dans le paysage.


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