COMPLÉMENTS
 

Le parc de Sceaux, paysage de référence : compléments photographiques

publié le 10 février 2014

Parc de Sceaux, perspectives  en grand format (nouvelle fenêtre)
Parc de Sceaux, perspectives
Le canal ouvre une autre perspective dans le fond même du vallon, en contrebas du château. La forme de cuvette concentre les effets des perspectives rayonnant autour du canal.

« Depuis l’esplanade du parc de Sceaux, la terrasse du château, quand on regarde vers Châtenay-Malabry, rien ne dépasse (…) on ne voit ‘rien’, on ne voit que de la verdure. Il y a une topographie qui fait que certaines constructions s’implantent dans les creux, et n’émergent des parties un peu plus élevées que de la verdure. (…) La dimension paysagère est très importante pour ces quartiers-là (…). » [Extraits d’entretien, Françoise Rodier, Châtenay-Malabry]
Parc de Sceaux, eaux  en grand format (nouvelle fenêtre)
Parc de Sceaux, eaux
Le grand canal, le grand jet d’eau de l’octogone, la cascade ornée par Rodin mettent l’eau et le ciel dans la scène du jardin. Les peupliers noirs d’Italie sont trop raides pour créer un espace sous leurs frondaisons, et pas assez égaux pour créer une palissade continue…
Parc de Sceaux, arbres  en grand format (nouvelle fenêtre)
Parc de Sceaux, arbres
Lors de la recomposition, l’arbre « sujet » a trouvé place dans les bosquets, apportant des ambiances particulières, comme dans le grand mail de cerisiers, à gauche (dont la floraison constitue un événement), ou les conifères, à droite. Le mode de gestion moins strict (à droite) donne un sympathique aspect naturel aux prairies tout en favorisant la biodiversité.
Parc de Sceaux, un parc en ville  en grand format (nouvelle fenêtre)
Parc de Sceaux, un parc en ville
Le parc dialogue assez peu avec son environnement urbain. A droite, la perspective du château déploie une « allée d’Honneur » magistrale vers le sud-est. A gauche, au bout du canal, on devine le clocher du village qui partage avec le château la position de crête.
Sceaux, lotissement  en grand format (nouvelle fenêtre)
Sceaux, lotissement
La rénovation du parc au début du XXe siècle a été en partie financée par le lotissement établi sur une partie de son emprise à l’est. L’architecture, datée, donne son ambiance au quartier. On remarque également (photo de gauche) le détail d’un trottoir partagé entre une bande de circulation et une plate-bande devant les clôtures.
« Une des questions lors de l’atelier [de l’atlas du 6 juin 2013] était ‘Y a-t-il des centralités ?’ Nous n’avons trouvé aucune centralité [au sein de l’unité de paysage des Versants de la Bièvre] (…) [Cependant] une centralité naturelle a tout de suite été relevée : le parc de Sceaux, en tant que bien commun, lieu de rencontre, de nature » [Extraits d’entretien, Sophie Schmitt, Sodearif]