COMPLÉMENTS
 

Évolutions du territoire des Vallons de Sceaux

publié le 10 février 2014 (modifié le 25 février 2014)

Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle

On remarque l’emprise considérable du parc de Sceaux autour duquel les villages sont nombreux et proches les uns des autres tout en restant distincts, au sein d’une campagne cultivée. La route d’Orléans longe à distance le cours de la Bièvre, limite le parc et traverse Bourg-la-Reine.

Carte d'état-major, début XIXe siècle en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte d’état-major, début XIXe siècle

Le parc de Sceaux semble retourné à l’agriculture mais le canal a été conservé. La ligne de chemin de fer d’Orsay vient doubler la route d’Orléans.

Carte IGN de 1900 en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte IGN de 1900

Sous l’influence de la desserte ferroviaire, les développements des villages commencent à se rejoindre, notamment entre Sceaux et Bourg-la-Reine. A Bagneux, l’éperon est encore cultivé et les parcelles de vignes encore nombreuses.

Carte IGN de 1950 en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte IGN de 1950

L’urbanisation a beaucoup progressé, laissant quelques interstices qui seront investis par les logements collectifs et les grands équipements d’enseignement, en particulier le long du ruisseau de la Fontaine du Moulin, sur l’éperon de Bagneux et à l’ouest du parc de Sceaux, dont le lotissement est figuré. A l’ouest de Châtenay-Malabry, la carte représente la composition du parc de la Petite Roseraie (futur CREPS), réaménagé par Varé, paysagiste qui intervint sur le bois de Boulogne. Dans le parc de Sceaux, les reconstitutions de Léon Azema, effectuées à la fin des années 1920, apparaissent.