Atlas des paysages et des projets urbains des Hauts-de-Seine

Évolutions du territoire de la Bièvre des Baconnets

publié le 6 février 2014
Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle

La route d’Orléans (future RN20 puis RD920) coupe la Bièvre au pont d’Antony, suscitant un développement spécifique, le village s’étend au pied du coteau. Le secteur est agricole, la vallée est occupée par des prairies, il y a des vergers sur les coteaux. La rivière passe sur la partie gauche de sa plaine alluviale.

Carte d'état-major, début XIXe siècle en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte d’état-major, début XIXe siècle

Peu d’évolutions, le figuré de la carte souligne la présence des prairies en fond de vallée, et le chemin de fer vient s’ajouter à la route.

Carte IGN de 1900 en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte IGN de 1900

L’agglomération d’Antony s’intensifie mais en restant dans une enveloppe comparable, le reste du territoire est encore agricole. Le réseau ferré s’est densifié.

Carte IGN de 1950 en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte IGN de 1950

Sous l’influence du train, les pavillons ont commencé à investir les coteaux, ainsi que le fond de vallée proche du pont d’Antony et les bas versants situés sous la voie ferrée aux Glaises. En revanche, le fond de vallée est encore agricole au droit des Godets, de même que le plateau. Les grands ensembles de logements vont s’y développer quelques années plus tard.