Les paysages difficiles des berges de la Seine : compléments photographiques
publié le 3 février 2014
Boulogne, Saint-Cloud
Dans bien des cas, la route en "quai" et ses aménagements de soutènement sont les seuls éléments de composition de la berge.
Echangeurs de l’A13 et de la RN118
Les caractéristiques « autoroutières » des voies, le trafic et ses nuisances s’imposent au paysage urbain, évincent les piétons et les cyclistes, et mettent à distance les éléments du paysage naturel.
Neuilly, Courbevoie
Les voies et les péniches –logements ou activités- se complètent pour rendre les berges inaccessibles et confisquent la vue du fleuve.
Boulogne-Billancourt
Sur de longues distances, un écran opaque obstrue la berge et, même en voiture, le fleuve est absent du paysage.
Courbevoie, depuis le pont de l’île de la Jatte
Photo de gauche : certains aménagements récents du quai bas ont permis de restaurer un accès piétons en amont du pont, et d’apporter une présence végétale. Photo de droite : à l’aval du pont, la berge n’est pas encore accessible.
Issy-les-Moulineaux
Un programme d’aménagements est destiné à rendre les berges accessibles pour la promenade, en accompagnement d’une mutation du quartier riverain. L’aménagement permettra de mieux associer le fleuve à l’urbanisation qui l’accompagne, et d’inscrire la berge dans les usages des habitants.