COMPLÉMENTS
 

Évolutions du territoire des Rebords de la Vallée aux Loups

publié le 6 février 2014
Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte des Chasses du Roi, fin du XVIIIe siècle

Le rebord du plateau apparaît comme une succession ininterrompue de bois et de parcs. La terrasse du « Plessis-Piquet », futur parc Henri Sellier, est construite et donne sur un coteau entièrement dégagé, ouvrant des vues sur un large panorama. Les parcs romantiques ne sont pas encore constitués.
L’axe du château de Sceaux est indiqué avec netteté sur la carte… ce qui ne se confirme pas vraiment ensuite.

Carte d'état-major, début XIXe siècle en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte d’état-major, début XIXe siècle

La carte est particulièrement belle, du fait de la concentration des parcs et jardins. La terrasse est toujours bien dégagée au bord du coteau. A Aulnay apparaît déjà l’amorce de la concentration de parcs, mais le bois de la Cave ne semble pas encore constitué. L’axe du château de Sceaux est presque effacé.

Carte IGN de 1900 en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte IGN de 1900

Le boisement s’est intensifié autour du parc de Chateaubriand. Le secteur apparaît dans un certain désordre de routes et de rues, mais ne semble se densifier que faiblement. L’axe du château de Sceaux paraît oublié et a perdu sa « rectitude ». De nombreux domaines apparaissent clos de murs, y compris l’enceinte de la future cité-jardin de la Butte-Rouge.

Carte IGN de 1950 en grand format (nouvelle fenêtre)
Carte IGN de 1950

La densification urbaine s’accentue le long des voies, mais les parcs restent préservés. L’axe du château de Sceaux réapparaît. La Butte-Rouge est figurée en partie, au sein d’un secteur boisé.